"Rester, c'est exister : mais voyager, c'est vivre." Gustave Nadaud

jeudi 20 octobre 2011

TREK DU GOSAINKUND ET DE L'HELAMBU (SUITE)

Jour 11 : Renche – Sing Gompa (3250 m) 8h30 + 1810 m – 1020 m

Étant donné que nous étions en rupture de stock de fromage, nous voulions absolument rejoindre Sing Gompa. Lieu de production artisanale de fromage. Ce fut une très longue journée, vu les dénivelés (VIDEO). A Thulo Syabru, nous reconnaissons une famille rencontrée dans le bus le premier jour. Contente que nous la reconnaissions, le chef de famille nous invite à sa table pour partager son repas. Nous arrivons juste avant la tombée de la nuit et la fermeture de la fromagerie. Ouf ! nous achetons un kilo de fromage (VIDEO). Dans le lodge, nous avons le droit à une douche chaude, et même le chauffage dans la chambre grâce au conduit du poêle … le grand luxe !


          


        


     


Jour 12 : Sing Gompa – Gosainkund (4400 m) 4h00 + 1125 m – 75 m




Magnifique journée, avec des vues splendides sur les

samedi 15 octobre 2011

TREK DU TAMANG HERITAGE TRAIL ET LANGTANG

Jour 1 : Katmandou – Syabrubesi

Réveil matinal à 5h00 pour prendre le bus à 6h00 direction Syabrubesi, situé à 117 Km. Dés le départ on se fait arnaquer. On achète nos tickets, et une fois dans le bus, nous nous rendons compte que nous n'avons pas de places assises. C'est parti pour 10 heures minimum de bus debout. Nous ne pouvions même pas bouger nos jambes. Le bus était complètement surchargé. Il y avait autant de monde sur le toit qu'à l'intérieur. Au bout de 6 heures, c'est le soulagement, 2 personnes assises à côté de nous sortent par une étroite fenêtre. Malheureusement ce fut un plaisir de court instant. Car 30 minutes plus tard, la route est coupée. Nous devons rejoindre à pied (1 km) un camion qui nous emmènera à un autre bus. Forcément à ce moment là c'est le déluge, et en prime il faut éviter les éboulements de la falaise. Nous arrivons au camion, et nous nous entassons debout dans la benne. Nous étions comme des clandestins passant une frontière. Bien sûr le transport en camion n'était pas compris dans le ticket de départ et celui du bus suivant non plus. Nous nous agrippons comme nous pouvons pour éviter de passer par dessus bord. Une fois le camion arrêté, c'est la course pendant un km pour avoir de la place dans le bus.

          

Nous apercevons un premier bus déjà plein à craquer. On nous indique un autre, où nous pouvons encore nous entasser debout à l'intérieur, avant de devoir monter sur le toit. Nous pensions notre calvaire terminé … Eh non !!! le bus est
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