"Rester, c'est exister : mais voyager, c'est vivre." Gustave Nadaud

dimanche 24 juillet 2011

JULE (DJOU'LE - JULLEY) LEH



Le Ladakh est une sublime contrée Himalayenne majoritairement peuplée de Bouddhistes d'une gentillesse désarmante. La région ne ressemble en rien au reste de l'Inde. C'est un fabuleux patchworks de monastères et de montagnes arides. On la surnomme le petit Tibet. Et surtout quel plaisir de retrouver le calme après la folie des grandes villes indiennes.

     


     


Nous logeons dans une paisible et adorable famille Ladakhie loin des rues touristiques et du centre ville de Leh. Leh étant à 3500 m, pour une bonne acclimatation à l'altitude quelques jours de repos furent obligatoires en découvrant les paysages...

mardi 19 juillet 2011

L'ENFER DES TRANSPORTS INDIENS : ARIMTSAR – MANALI – LEH

Nous patientons à la gare routière d'Amritsar quelques heures avant de prendre notre bus public. Dés l'ouverture du bus nous prenons place (VIDEO). Et c'est parti pour 14 heures... serrés comme des sardines avec nos bagages et ceux des autres passagers. Notre conducteur était le roi du klaxon (vital en Inde). On aurait même pu croire que ce dernier était coincé. Bonjour l'état de nos tympans. Mais tout allait bien jusqu'à ce qu'on change de chauffeur... le nouveau était un vrai chauffard ! Personne ne s'inquiète de sa conduite. Il faut savoir que pour les indiens la mort n'est pas une fin en soi. Vive la réincarnation... Pas réellement encore convaincus. Nous ne sommes pas pressés de

lundi 11 juillet 2011

AMRITSAR

Après 17 heures de train nous arrivons à la gare d'Amritsar et sautons dans un risckshaw pour la vieille ville. Nous écumons les hôtels, et nous finissons par en trouver un un peu près correct. De là, nous allons visiter le temple d'or (le Gurdwara). Amritsar est le territoire des sikhs. Le temple d'or se dresse au centre d'un bassin sacré comme un gigantesque lingot scintillant.

     


Avant de rentrer nous avons déposé nos claquettes et emprunté des foulards, car hommes et femmes doivent avoir les cheveux couverts. Le temple était magnifique au milieu du bassin où de nombreux pèlerins de toute l'Inde se baignaient pour se purifier. Une atmosphère mystique se dégage du lieu, avec

jeudi 7 juillet 2011

AGRA... LE TAJ MAHAL

Ça débutait mal... Le chauffeur n'ayant pas dénié s'arrêter, nous avons dû courir et sauter dans le bus en marche. Au final nous avons mis 17 heures pour arriver à Agra. Le voyage fut hard. Nous avions les jambes écrasées par nos bagages. Les sièges étaient enduis de crasses et celui de Julien était cassé. Le bus était une nouvelle fois rempli à craquer. Il y régnait une atmosphère chaude et humide avec les odeurs qui accompagnent. La route était en très mauvais état, et les vibrations ont fait exploser une vitre. Durant la nuit de violents orages ont éclaté, et le bus prenait l'eau. Plusieurs personnes étaient obligées de se couvrir avec des bâches. Ouf, nous avons été épargnés par les fuites. Quelques colis sont tombés du toit, qu'ils ont rechargé à l'intérieur du bus. A l'arrivée le carrelage dans les cartons était cassé, et les étoffes de tissus étaient déchirés. Mais nous, nous avons survécu.

     


On trouve un hôtel sympa pour se reposer avec une belle vue sur le Taj Mahal, qui au passage tente de nous arnaquer en voulant nous faire payer 3 fois le prix de la chambre. Nous visitons le Taj Mahal, qui fut édifié par Shah Jahan pour recevoir le corps de sa deuxième épouse Muntaz Mahal. Il faisait une chaleur horrible mais la vision splendide du Taj Mahal nous a ébahi. La structure centrale du Taj est constituée de marbre blanc semi-translucide, sculpté de fleurs et incrusté de milliers de pierres semi-précieuses formant de superbes motifs. Ce fut un moment vraiment magique.


       

lundi 4 juillet 2011

UDAIPUR

Le bus a tenu toutes ses promesses folkloriques. Sur la route, le bus s'est rempli rapidement... il était plein à craquer. Énormément secoués sur le trajet, car le bitume était en mauvais état. Le bus frôlant les camions en zigzagant. Heureusement que nous ne voyons pas la route, mais les fréquents coups de klaxons nous rappelaient le danger permanent. Nous sortons du bus soulagés, et nous sommes immédiatement harcelés par les conducteurs de rickshaw. On se met d'accord sur le prix, en espérant qu'il nous dépose bien à l'hôtel de notre choix (pas toujours le cas). Arrivés devant la guest house, le chauffeur se précipite à l'intérieur avec le sac d'Enora. Le filou voulait arriver en premier et obtenir une substantielle commission pour nous avoir déposés chez eux.


            


           


Nous filons découvrir le quartier avec ses temples et le City Palace qui possède le plus vaste palais du Rajasthan. Chose très surprenante depuis le début du voyage sur les lieux touristiques, de nombreux indiens sûrement en vacances nous sollicitent pour être
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